Ces années de centenaire guerrier que nous remémorons et célébrons offrent de multiples résonnances. Voici le De profundis de Jean-Marc Bernard dans sa version française originale, et remarquablement traduit par Oldenbroke en anglais.
Jean-Marc Bernard appartenait à l’École fantaisiste. On constate à la lecture combien le qualificatif fantaisiste ne doit pas masquer la profondeur des auteurs, surtout dans les circonstances extrêmes. « Jean-Marc Bernard qui … fut anéanti par un obus, le 9 juillet 1915, à l’aurore, entre Souchez et le Cabaret rouge. » Je cite ici les informations transmises par Oldenbroke sur son blog.
Nous reprendrons ultérieurement l’exploration de la poésie française, en trouvant autant que possible son équivalent anglais.
Laissons-nous guider…
DE PROFUNDIS
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