Fiches de lecture du livre numérique : FRANCE : AGIR OU PERIR ?
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Nombre de pages :
1211
Format(s) :
ISBN n° 978-2-36708-100-7 (pdf).
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(1 avis.)
« Ce que personne ne vous avait jamais dit clairement « ...
Cet essai se voudrait construit un peu à la façon d'un coup de poing : frapper fort... pour espérer une réaction.
Premier constat : nous vivons dans un monde qui n'a pas tenu ses promesses, quoi qu'on dise pour se le cacher : la crise que nous vivons est qualitative, pas quantitative.
Les pathologies (morales, intellectuelles, comportementales) qui sont notre lot quotidien affectent le monde entier et minent en profondeur notre capacité à jouir pleinement de tout ce que notre histoire a su construire à travers ses évolutions et qui aurait dû nous permettre, bien utilisé, de nous approcher du mot bonheur plus que les générations qui nous ont précédés sur Terre.
Deuxième constat : les sujets dont nous pouvons entendre parler tournent tous autour de solutions concrètes ayant soi-disant vocation à résoudre des problèmes pour la plupart mal ou insuffisamment analysés. Comment un remède pourrait-il s’avérer efficace pour soigner une maladie approximativement ou mal diagnostiquée ?
L’obligation de s’attaquer à la base de nos problèmes et aux sources de nos maux, au lieu de continuer à ne parler que de leurs manifestations n’est plus un devoir ou un vœu « comme il le fut jusqu’ici : c’est devenu un impératif absolu.
Le monde a changé, depuis un demi-siècle, plus que jamais auparavant durant une période équivalente.
Et les perspectives déjà ouvertes sous nos yeux qui refusent de les voir et d’en tirer toutes les conséquences, ne nous laissent entrevoir que de nouveaux changements, au moins aussi lourds que tous ceux qui les ont précédés.
Et plus rapides sans doute.
Le monde vieillit dans sa principale composante, l’homme, mais par lui-même également : autour de nous, un monde vieux, souvent peuplé de vieux... C’est sympathique, peut-être, mais c’est une situation nouvelle !
Nous sommes amenés à nous demander, en ces temps dits médiatiques, numériques et mondialisés, ce que pourra devenir une véritable communication, cette forme d’échanges dans laquelle le respect de l’autre, identifié en tant que tel, se doit de rester primordial
Proposer comme premier diagnostic que le flou de notre expression orale ou écrite est responsable de notre incapacité à comprendre et à dominer les enjeux qui sont pourtant étalés devant nos yeux va sembler, dans un premier temps, aussi étrange que hors de proportion avec les problèmes à résoudre.
Ne perdons pas de vue que si une seule des solutions concrètes qui nous sont proposées par ailleurs ou nous ont été proposées jusqu’ici avait fonctionné une seule fois, ce la se serait vu, cela se saurait !Le monde serait plus en paix et l’humanité serait plus proche de son propre bonheur !
Si nous observons notre environnement avec honnêteté, il devient très vite difficile de ne pas voir ce qui, pourtant, crève les yeux : un authentique coma dépassé que nous faisons mine d’affubler de noms originaux : crise économique (ce qu’elle n’est pas, ou au moins... pas que ), Printemps arabe (ce qui ne durera guère plus qu’un court printemps), euro (durée imprévisible), etc.
C’est ailleurs qu'il convient de chercher les solutions susceptibles de nous tirer du véritable marasme dans lequel nous nous sommes plongés par notre refus de vouloir accepter qu’il suffirait de changer d’angle de vision pour trouver ces idées nouvelles qui seules, seront susceptibles de nous sauver... peut-être.
Or ce marasme est artificiel, et il paraît révoltant d’avoir à contempler d’un air morose notre longue descente vers ce que nos ancêtres osaient désigner par son nom : l’enfer !
Regardez ce monde qui nous entoure. Force est de constater qu'il fonctionne de plus en plus mal, et cela commence à se savoir, à devenir perceptible partout, par tous, et sur tous les continents.
Mais aussi, je sais par expérience d'homme vivant dans mon siècle, que :
» Quiconque se range dans le camp de la vérité et lutte contre le mensonge souffre d’emblée d’un lourd handicap : la vérité est banale et monotone, tandis que le mensonge est séduisant, neuf, varié, inventif et possède une infinie garde-robe d’accoutrements à la mode. «
Les manifestations tangibles du vieillissement de ce qui fut notre si brillante civilisation, dite occidentale, sont omniprésentes, et les maladies qui affectent et menacent notre planète bleue sont nombreuses,...
Le monde est fou... et très malade. Ou très vieux !Dans tous ses aspects !
Alors... au boulot, sans perdre plus de temps.
» Tu trouveras ici non un traité de politique ni d’économie, mais une raison d’état de toi-même, une boussole pour naviguer vers l’excellence, un art d’être éminent avec à peine quelques règles de sagesse. «
Cet essai se voudrait construit un peu à la façon d'un coup de poing : frapper fort... pour espérer une réaction.
Premier constat : nous vivons dans un monde qui n'a pas tenu ses promesses, quoi qu'on dise pour se le cacher : la crise que nous vivons est qualitative, pas quantitative.
Les pathologies (morales, intellectuelles, comportementales) qui sont notre lot quotidien affectent le monde entier et minent en profondeur notre capacité à jouir pleinement de tout ce que notre histoire a su construire à travers ses évolutions et qui aurait dû nous permettre, bien utilisé, de nous approcher du mot bonheur plus que les générations qui nous ont précédés sur Terre.
Deuxième constat : les sujets dont nous pouvons entendre parler tournent tous autour de solutions concrètes ayant soi-disant vocation à résoudre des problèmes pour la plupart mal ou insuffisamment analysés. Comment un remède pourrait-il s’avérer efficace pour soigner une maladie approximativement ou mal diagnostiquée ?
L’obligation de s’attaquer à la base de nos problèmes et aux sources de nos maux, au lieu de continuer à ne parler que de leurs manifestations n’est plus un devoir ou un vœu « comme il le fut jusqu’ici : c’est devenu un impératif absolu.
Le monde a changé, depuis un demi-siècle, plus que jamais auparavant durant une période équivalente.
Et les perspectives déjà ouvertes sous nos yeux qui refusent de les voir et d’en tirer toutes les conséquences, ne nous laissent entrevoir que de nouveaux changements, au moins aussi lourds que tous ceux qui les ont précédés.
Et plus rapides sans doute.
Le monde vieillit dans sa principale composante, l’homme, mais par lui-même également : autour de nous, un monde vieux, souvent peuplé de vieux... C’est sympathique, peut-être, mais c’est une situation nouvelle !
Nous sommes amenés à nous demander, en ces temps dits médiatiques, numériques et mondialisés, ce que pourra devenir une véritable communication, cette forme d’échanges dans laquelle le respect de l’autre, identifié en tant que tel, se doit de rester primordial
Proposer comme premier diagnostic que le flou de notre expression orale ou écrite est responsable de notre incapacité à comprendre et à dominer les enjeux qui sont pourtant étalés devant nos yeux va sembler, dans un premier temps, aussi étrange que hors de proportion avec les problèmes à résoudre.
Ne perdons pas de vue que si une seule des solutions concrètes qui nous sont proposées par ailleurs ou nous ont été proposées jusqu’ici avait fonctionné une seule fois, ce la se serait vu, cela se saurait !Le monde serait plus en paix et l’humanité serait plus proche de son propre bonheur !
Si nous observons notre environnement avec honnêteté, il devient très vite difficile de ne pas voir ce qui, pourtant, crève les yeux : un authentique coma dépassé que nous faisons mine d’affubler de noms originaux : crise économique (ce qu’elle n’est pas, ou au moins... pas que ), Printemps arabe (ce qui ne durera guère plus qu’un court printemps), euro (durée imprévisible), etc.
C’est ailleurs qu'il convient de chercher les solutions susceptibles de nous tirer du véritable marasme dans lequel nous nous sommes plongés par notre refus de vouloir accepter qu’il suffirait de changer d’angle de vision pour trouver ces idées nouvelles qui seules, seront susceptibles de nous sauver... peut-être.
Or ce marasme est artificiel, et il paraît révoltant d’avoir à contempler d’un air morose notre longue descente vers ce que nos ancêtres osaient désigner par son nom : l’enfer !
Regardez ce monde qui nous entoure. Force est de constater qu'il fonctionne de plus en plus mal, et cela commence à se savoir, à devenir perceptible partout, par tous, et sur tous les continents.
Mais aussi, je sais par expérience d'homme vivant dans mon siècle, que :
» Quiconque se range dans le camp de la vérité et lutte contre le mensonge souffre d’emblée d’un lourd handicap : la vérité est banale et monotone, tandis que le mensonge est séduisant, neuf, varié, inventif et possède une infinie garde-robe d’accoutrements à la mode. «
Les manifestations tangibles du vieillissement de ce qui fut notre si brillante civilisation, dite occidentale, sont omniprésentes, et les maladies qui affectent et menacent notre planète bleue sont nombreuses,...
Le monde est fou... et très malade. Ou très vieux !Dans tous ses aspects !
Alors... au boulot, sans perdre plus de temps.
» Tu trouveras ici non un traité de politique ni d’économie, mais une raison d’état de toi-même, une boussole pour naviguer vers l’excellence, un art d’être éminent avec à peine quelques règles de sagesse. «
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