Pour Lettropolis, des vœux stéréotypés et obligatoires n’ont guêre d’intérêt. Mais des souhaits de perspectives et résolutions raffermies, rappelées en ce début d’année, tel est notre message.
Lettropolis souhaite donc que les enfants apprennent à lire, écrire et penser hors des dictactures que le « correct » impose. La langue française classique leur offre un support pour cela. Mais toute version, langue de bois, langue de coton, langue de guimauve ou langue de « textos » les enferme dans des cages de réduction mentale. Cela n’est pas à souhaiter.
Lettropolis souhaite que la lecture soit débarrassée de sa gangue de clinquant, de papier forcé, que le texte ne soit pas confondu avec le contenant par lequel il est véhiculé, et que ce contenant ne devienne pas la parure ostentatoire des étagères remplies et des raisonnements affadis.
Lettropolis souhaite aux Français de redécouvrir le sens de la lecture choisie et non pré-livrée, de partager des textes libres, d’en extraire le sens et de vivre libres.